El lombricompostage es una técnica que permite producir un abono orgánico que alimenta las plantas y mejora la cualidad del suelo, valorizando los subproductos orgánicos de la finca. La materia orgánica esta recuperada para servir de alimentación principal a una cría de lombrices. Esos al digerirla, la transforman poco a poco en compost que podría ser difundido a los pies de los cultivos.
Los cafeticultores de la Serranía del Perijá nos hablaron de su voluntad de aprender más sobre la lombricultura, para reducir la cantidad de insumos químicos sobre sus tierras, incluso empezar a cultivar algunas parcelas de manera orgánica. En este mes de Julio, dos capacitaciones sobre la lombricultura fueron dispensados, reunión 12 fincas, listas para recurrir a nuevas prácticas.
Las lombrices utilizaron por la lombricultura son de la especias de los Eisenia Foetida. Para empezar una cría, pequeñitas cantidades de lombrices y de materia orgánica son suficientes. En una bandera con un fondo pinchado, inclinada y colocado en el mismo suelo, son elaboradas diferentes estratos. Esas pueden estar constituyas de tierra, de compost, de estiércol, peladuras de verduras y de cartón. Es en este medio ambiente que son introducidas las lombrices.
La lombricultura es una práctica sencilla, económica y ecológica, pero que necesita una poca de cuida. Las lombrices viven en la humedad y la obscuridad. Es importante mantenerlos a salvo del sol, en un lugar húmedo, y de darles de comer regularmente. Si las condiciones son reunidas, el crecimiento exponencial de la población permite de añadir más materia orgánica, y de aumentar la producción de abono.
El lombricompostage permite acelerar la descomposición de la materia orgánica, y de obtener un compost de mejor cualidad. En comparación con un compost tradicional, una lombricomposta produce 5 veces más de nitrógeno, 7 veces más de fosforo, 5 veces más de potasio y 2 veces más de calcio. Una vez los abonos listos, se extenderán a los pies de los cultivos de la Serranía del Perijá, para ofrecernos un café cada vez más sabroso y respetuoso del medio ambiente.
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Le lombricompostage, est une technique permettant de produire un intrant biologique nourrissant les cultures, améliorant la qualité des sols, tout en valorisant les sous-produits organiques de la ferme. La matière organique est récupérée afin de devenir la principale source d’alimentation d’un élevage de vers de terre. Ces derniers, en la digérant, la transforment peu à peu en un compost qui pourra être épandu aux pieds des cultures.
Les caféiculteurs de la Serranía del Perijá nous ont fait part de leur volonté d’en apprendre davantage sur la lombriculture, afin de réduire la quantité d’intrants chimiques sur leurs terres, voire de commencer à cultiver certaines parcelles en agriculture biologique. En ce mois de Juillet, deux formations sur la lombriculture ont donc été délivrées, réunissant au total 12 fermes, prêtes à se tourner vers de nouvelles pratiques. Les vers de terre utilisés pour la lombriculture sont issus de l’espèce Eisenia Foetida. Pour débuter un élevage, de petites quantités de vers ainsi que de matière organique sont suffisantes. Dans un bac percé posé à même le sol, sont élaborées différentes strates. Celles-ci peuvent être composées de terre, de composte, de fumier, d’épluchures de légumes et de cartons, auxquelles sont introduites les vers de terre.
Le lombricompostage est un procédé simple, économique et écologique, mais requérant néanmoins un peu d’attention. Les vers de terres vivent dans l’obscurité et l’humidité. Il est donc important de les garder à l’abri du soleil, dans un environnement assez frais, ainsi que de les nourrir régulièrement. Si les conditions sont réunies, leur croissance exponentielle permet d’accroitre rapidement la quantité de matière organique introduite, et ainsi d’augmenter la production de composte.
Le lombricompostage permet d’accélérer la décomposition de la matière organique, et d’obtenir un composte de meilleure qualité. En comparaison à un composte traditionnel le lombricomposte produit 5 fois plus d’azote, 7 fois plus de phosphore, 5 fois plus de potassium et 2 fois plus de calcium. Une fois les composts prêts, ils seront épandus au pied des cultures de la Serania del Perja, pour nous offrir un café toujours plus savoureux et respectueux de l’environnement.